J'inaugure quelques lignes musique/vidéos/jeux que je vais essayer de mettre systématiquement en début de post à partir de maintenant... Le but étant de vous faire découvrir des trucs niveau musique et vidéos, et de faire baver les gamers de France avec ma PS3 :P
En boucle dans mon mp3 : (je commence fort avec 3 chansons qui tournent littéralement en boucle en ce moment)
Dans mon lecteur de DivX :
Dans ma PS3 :
Camille - Roses Never Fall in Love
Gotan Project - Mi Confession
DJ Krush - Candle Chant
Gotan Project - Mi Confession
DJ Krush - Candle Chant
Dans mon lecteur de DivX :
Death Note E16
Prison Break S2E16
Prison Break S2E16
Dans ma PS3 :
importé des States par mes soins (merci eBay) : Tony Hawk's Project 8
Virtua Fighter 5
Virtua Fighter 5
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Ce post est trèèès long. Si vous n'avez pas envie de tout lire, je vous conseille juste le premier et le dernier paragraphe, l'essentiel y est.
C'est un bon gros week end avec lundi férié qui se termine. Qui aura duré un peu plus de 3 jours en fait, puisque la semaine dernière mon superviseur m'a gentillement signifié, avec ce fameux tact japonais, la chose suivante : "ton rhume a l'air assez sérieux, c'est courageux de ta part de venir travailler quand même, mais n'en fais pas trop". Il faut comprendre : "de toute facon tu ne sers pas à grand chose, et tu risques de refiler ton rhume à des gens qui bossent pour de vrai, alors va cracher tes microbes plus loin". Du coup j'ai aussi eu mon vendredi de libre, passé à buller devant Virtua Fighter 5 qui était sorti la veille - oui, je suis à fond sur ma Playstation en ce moment...
Vendredi soir, me voilà donc dans le Shinkansen, encore enrhumé mais bien reposé - merci patron, merci patron (air connu) - , en route pour ce tant attendu week-end snow chez Mizuki. Les compères (nommément Mizuki et Sylvain, Max, Ari et Wakana) me rejoignent en cours de route et une heure plus tard, nous voilà arrivés à destination.
Première surprise : le Shinkansen s'arrête directement dans la station, il nous suffit de 5 minutes de taxi pour rejoindre la résidence. Deuxième surprise : pas de neige en vue !! Une bien étrange station du point de vue de quelqu'un habitué aux Alpes, puisque le bas de la station est à 450 m d'altitude (si si) et culmine à l'altitude faramineuse de ... 1100m. Et pourtant, la neige était bien là, pas d'une fraîcheur monumentale, mais suffisamment pour qu'on se fasse bien plaisir. Jusqu'au moment où il s'est mis à pleuvoir.
...
Honnêtement, j'avais beau avoir vu les prévisions météo, je n'y croyais pas vraiment. De la pluie sur les pistes, ca me semblait (ca me semble toujours, en fait) complètement surréaliste. Et pourtant ! Je peux vous assurer que ce qui est tombé sur nos tronches déconfites ce samedi était tout ce qu'il y a de plus liquide... On a même eu 5 minutes de ce qui ressemblait étrangement à une averse, ce qui fut évidemment un bonheur intense - surtout en jean et sur le télésiège.
Évidemment, ca a coupé court à la journée, l'effet d'une pluie sur la qualité de neige étant celui auquel on peu s'attendre : en faire un soupe immonde. Pire qu'une après-midi de grosse chaleur en Avril à Val Thorens...
Mais il en fallait plus pour porter atteinte à notre moral, bien remonté notamment par une longue session dans le spa de la résidence : le traditionnel ofuro, mais aussi jaccuzi, sauna et tout le toutim. Puis une bonne petite soirée, où j'ai enfin eu l'occasion de faire la cuisine - ca faisait 6 mois que j'avais pas touché une casserolle, quand même ; et bien sûr de la boisson à foison, agrémentée de jeux stupides et discussions de bas-étage. Très fun, donc ! La soirée à aussi vu l'arrivée de Charrin, amie Malaisienne de Mizuki, qui a rajouté encore un peu à l'ambiance internationale du week-end, si besoin était, et m'a fait baver deux litres avec son reflex numérique de la mort qui tue (Nikon D80) qu'elle ne savait pas utiliser - j'ai dû lui apprendre comment utiliser l'autofocus... J'ai bien fait joujou avec, et je crois que cette fois je vais craquer et m'en acheter un. Ca fait vraiment longtemps que ca me démange. Ca m'embête un peu parce que j'ai déjà un appareil plus que correct et surtout un compte en banque qui fait la gueule, mais bon, hein, l'argent ca sert à être dépensé... Surtout que ca me motiverait très probablement à sortir du glauque de ma chambre pour aller faire des ballades-photos, ce qui serait quand même une bonne chose pendant que je suis là. Quand je repense à tous les regrets que j'ai pour le Chili, qui était certes une excellente période mais où j'ai passé le plus clair de mon temps entre quatre murs, à faire une photo miteuse toutes les trois semaines, ca me semble même une nécessité absolue. Parce qu'au Chili, au moins, j'habitais pas tout seul ; j'étais certes entre quatres murs, mais à sociabiliser avec des locaux.
Désolé, j'ai digressé un peu fort là, je comptais plutôt faire un post à part à ce sujet. Tant pis, maintenant c'est écrit... Revenons-en quand même à nos moutons.
Tout ca nous mène donc au dimanche matin, une journée démarée sous le signe de de la gueule de bois combinée à des courbatures gragantuesques, donc pas exactement aux aurores - pas pour moi en tout cas, qui suis resté cloué au lit un peu plus longtemps que les autres. Une fois arrivé sur les pistes (en faisant entre temps pas loin d'une heure de queue pour avoir un forfait : beaucoup de monde le dimanche), le constat des dégâts au niveau de la neige fût édifiant... Après les pluies de la veille, la température a baissé et il s'est mis à neiger - il a continué à neiger assez fort, d'ailleurs, le plus gros de la journée. Résultat : la soupe de la veille s'est transformée en une gigantesque plaque de givre recouvrant toute la station, saupoudrée d'une neige fraîche qui est tout de suite devenue super collante à son contact. Donc, un coup c'est la patinoire, un coup on se retrouve à ne plus avancer du tout. Youhou... Les pauvres Mizuki, Sylvain et Charrin, qui débutaient le snow ce week end, ont évidemment bien souffert.
Heureusement, le "haut" de la station avait des conditions de neige correctes, avec même une ou deux parties de poudreuse bien sympathiques. D'ailleurs, ce n'est pas un mythe : *aucun* Japonais ne sort des pistes, ce qui est bien pratique pour tracer tout seul les meilleurs coins. Dans le cas de cette station, il n'y en avait quasiment pas, mais bon, ca fait toujours plaisir.
C'est sur le "mur" de la station (qui lui aussi mérite des gillemets, parce que bon, il était gentillet) que j'ai réalisé la prouesse du week-end. Etant un peu en manque de vitesse sur cette station toute plate, je me décide à faire un schuss-tout-droit-je-suis-fou sur ledit mur, profitant de la présence d'une seule personne devant moi. En m'appliquant à bien passer derrière lui pour plus de sécurité. Et voilà que le mec effectue ce qui est probablement le demi-tour le plus rapide que j'aie jamais vu... Et advient ce qui devait arriver : vlan ! Gros carton, qui a fait un énorme *crac*. J'ai tout de suite su que ca ne venait pas de moi, et j'ai vraiment eu les jetons d'avoir cassé en deux le pauvre type (qui en plus n'était pas en tort puisqu'en dessous). Mais non, monsieur va bien, pas de bobo. Par contre, il pointe ma planche du doigt. Il me faut un moment pour comprendre... Ah. Cassée. Mais alors vraiment cassée ! Pliée à 45 degrés au-dessus de la fix avant, rien que ca. Elle a visiblement tapée dans la planche de l'autre, qui heureusement n'a pas eu une égratignure - merci le morceau de plastique moche sur les spatules des planches de location !! J'avais jamais compris à quoi ca servait, mais pour le coup j'étais bien content de l'avoir...
Il a ensuite fallu redescendre chez le loueur. Depuis le haut de la station bien sûr, sinon c'est pas drôle (c'est pas Tignes non plus hein, mais ca fait une trotte quand même). Je vais donc en haut du télésiège pour le prendre à rebrousse-poil. Et bien monsieur pisteur me dit que non non, c'est pas possible ; si je veux descendre, il peut m'appeler la motoneige de secours. Payant ? Ben oui... Ben on va y aller à pied alors !! Enfin, à pied... À luge plutôt, les fesses sur la planche et les bras en guise de frein. Très très drôle d'ailleurs, pas exactement sécurit mais définitivement fun. J'ai eu droit à une bonne dose de regards ahuris de la part des gens que je doublais en étant assis sur ma planche, sans compter tout le bas de la station à mon arrivée. Il faut dire que j'ai une technique assez personnelle pour m'arrêter : je retire la planche de sous mes fesses et j'attends que ca freine tout seul. C'est donc à une vitesse relativement déraisonnable, assis à même la neige, la planche sur les genoux, les bras croisés, et accessoirement toujours en jean et le casque sur les oreilles que je suis arrivé en bas. Pour une fois, je pouvais difficilement en vouloir aux autochtones de me regarder avec des yeux de merlan frit.
C'est con que j'aie oublié de faire des photos (de la planche notamment, qui était assez impressionnante).
Un épisode qui aurait donc été globalement très amusant si je n'avais pas eu à payer 10.000 yen de caution pour la planche cassée...
La fin du week end fut moins forte en émotions, principalement parce que j'ai eu des courbatures si violentes le lundi matin que j'ai été absolument incapable de me lever pour aller surfer.
Pour résumer, ce fût un excellent week end, malgré des conditions de neige pas idéales (mais suffisantes) et grâce à une excellente ambiance avec les compères. Je retiendrai surtout, en dehors de l'épisode de la planche cassée :
- le snow sous la pluie
- la météo absolument aléatoire : tempête de neige, 5 minutes de soleil, re-tempête de neige, etc
- le fait que les télésièges japonais n'ont pas de repose-pieds, ce qui est fort désagréable, et carrément pas de garde-corps pour les deux places, ce qui est effarant au pays des maniaques de la sécurité
- ... il me faut un reflex ! Ce week-end, je vai chasser le D40 d'occase à Akihabara je crois...
Vendredi soir, me voilà donc dans le Shinkansen, encore enrhumé mais bien reposé - merci patron, merci patron (air connu) - , en route pour ce tant attendu week-end snow chez Mizuki. Les compères (nommément Mizuki et Sylvain, Max, Ari et Wakana) me rejoignent en cours de route et une heure plus tard, nous voilà arrivés à destination.
Première surprise : le Shinkansen s'arrête directement dans la station, il nous suffit de 5 minutes de taxi pour rejoindre la résidence. Deuxième surprise : pas de neige en vue !! Une bien étrange station du point de vue de quelqu'un habitué aux Alpes, puisque le bas de la station est à 450 m d'altitude (si si) et culmine à l'altitude faramineuse de ... 1100m. Et pourtant, la neige était bien là, pas d'une fraîcheur monumentale, mais suffisamment pour qu'on se fasse bien plaisir. Jusqu'au moment où il s'est mis à pleuvoir.
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Honnêtement, j'avais beau avoir vu les prévisions météo, je n'y croyais pas vraiment. De la pluie sur les pistes, ca me semblait (ca me semble toujours, en fait) complètement surréaliste. Et pourtant ! Je peux vous assurer que ce qui est tombé sur nos tronches déconfites ce samedi était tout ce qu'il y a de plus liquide... On a même eu 5 minutes de ce qui ressemblait étrangement à une averse, ce qui fut évidemment un bonheur intense - surtout en jean et sur le télésiège.
Évidemment, ca a coupé court à la journée, l'effet d'une pluie sur la qualité de neige étant celui auquel on peu s'attendre : en faire un soupe immonde. Pire qu'une après-midi de grosse chaleur en Avril à Val Thorens...
Mais il en fallait plus pour porter atteinte à notre moral, bien remonté notamment par une longue session dans le spa de la résidence : le traditionnel ofuro, mais aussi jaccuzi, sauna et tout le toutim. Puis une bonne petite soirée, où j'ai enfin eu l'occasion de faire la cuisine - ca faisait 6 mois que j'avais pas touché une casserolle, quand même ; et bien sûr de la boisson à foison, agrémentée de jeux stupides et discussions de bas-étage. Très fun, donc ! La soirée à aussi vu l'arrivée de Charrin, amie Malaisienne de Mizuki, qui a rajouté encore un peu à l'ambiance internationale du week-end, si besoin était, et m'a fait baver deux litres avec son reflex numérique de la mort qui tue (Nikon D80) qu'elle ne savait pas utiliser - j'ai dû lui apprendre comment utiliser l'autofocus... J'ai bien fait joujou avec, et je crois que cette fois je vais craquer et m'en acheter un. Ca fait vraiment longtemps que ca me démange. Ca m'embête un peu parce que j'ai déjà un appareil plus que correct et surtout un compte en banque qui fait la gueule, mais bon, hein, l'argent ca sert à être dépensé... Surtout que ca me motiverait très probablement à sortir du glauque de ma chambre pour aller faire des ballades-photos, ce qui serait quand même une bonne chose pendant que je suis là. Quand je repense à tous les regrets que j'ai pour le Chili, qui était certes une excellente période mais où j'ai passé le plus clair de mon temps entre quatre murs, à faire une photo miteuse toutes les trois semaines, ca me semble même une nécessité absolue. Parce qu'au Chili, au moins, j'habitais pas tout seul ; j'étais certes entre quatres murs, mais à sociabiliser avec des locaux.
Désolé, j'ai digressé un peu fort là, je comptais plutôt faire un post à part à ce sujet. Tant pis, maintenant c'est écrit... Revenons-en quand même à nos moutons.
Tout ca nous mène donc au dimanche matin, une journée démarée sous le signe de de la gueule de bois combinée à des courbatures gragantuesques, donc pas exactement aux aurores - pas pour moi en tout cas, qui suis resté cloué au lit un peu plus longtemps que les autres. Une fois arrivé sur les pistes (en faisant entre temps pas loin d'une heure de queue pour avoir un forfait : beaucoup de monde le dimanche), le constat des dégâts au niveau de la neige fût édifiant... Après les pluies de la veille, la température a baissé et il s'est mis à neiger - il a continué à neiger assez fort, d'ailleurs, le plus gros de la journée. Résultat : la soupe de la veille s'est transformée en une gigantesque plaque de givre recouvrant toute la station, saupoudrée d'une neige fraîche qui est tout de suite devenue super collante à son contact. Donc, un coup c'est la patinoire, un coup on se retrouve à ne plus avancer du tout. Youhou... Les pauvres Mizuki, Sylvain et Charrin, qui débutaient le snow ce week end, ont évidemment bien souffert.
Heureusement, le "haut" de la station avait des conditions de neige correctes, avec même une ou deux parties de poudreuse bien sympathiques. D'ailleurs, ce n'est pas un mythe : *aucun* Japonais ne sort des pistes, ce qui est bien pratique pour tracer tout seul les meilleurs coins. Dans le cas de cette station, il n'y en avait quasiment pas, mais bon, ca fait toujours plaisir.
C'est sur le "mur" de la station (qui lui aussi mérite des gillemets, parce que bon, il était gentillet) que j'ai réalisé la prouesse du week-end. Etant un peu en manque de vitesse sur cette station toute plate, je me décide à faire un schuss-tout-droit-je-suis-fou sur ledit mur, profitant de la présence d'une seule personne devant moi. En m'appliquant à bien passer derrière lui pour plus de sécurité. Et voilà que le mec effectue ce qui est probablement le demi-tour le plus rapide que j'aie jamais vu... Et advient ce qui devait arriver : vlan ! Gros carton, qui a fait un énorme *crac*. J'ai tout de suite su que ca ne venait pas de moi, et j'ai vraiment eu les jetons d'avoir cassé en deux le pauvre type (qui en plus n'était pas en tort puisqu'en dessous). Mais non, monsieur va bien, pas de bobo. Par contre, il pointe ma planche du doigt. Il me faut un moment pour comprendre... Ah. Cassée. Mais alors vraiment cassée ! Pliée à 45 degrés au-dessus de la fix avant, rien que ca. Elle a visiblement tapée dans la planche de l'autre, qui heureusement n'a pas eu une égratignure - merci le morceau de plastique moche sur les spatules des planches de location !! J'avais jamais compris à quoi ca servait, mais pour le coup j'étais bien content de l'avoir...
Il a ensuite fallu redescendre chez le loueur. Depuis le haut de la station bien sûr, sinon c'est pas drôle (c'est pas Tignes non plus hein, mais ca fait une trotte quand même). Je vais donc en haut du télésiège pour le prendre à rebrousse-poil. Et bien monsieur pisteur me dit que non non, c'est pas possible ; si je veux descendre, il peut m'appeler la motoneige de secours. Payant ? Ben oui... Ben on va y aller à pied alors !! Enfin, à pied... À luge plutôt, les fesses sur la planche et les bras en guise de frein. Très très drôle d'ailleurs, pas exactement sécurit mais définitivement fun. J'ai eu droit à une bonne dose de regards ahuris de la part des gens que je doublais en étant assis sur ma planche, sans compter tout le bas de la station à mon arrivée. Il faut dire que j'ai une technique assez personnelle pour m'arrêter : je retire la planche de sous mes fesses et j'attends que ca freine tout seul. C'est donc à une vitesse relativement déraisonnable, assis à même la neige, la planche sur les genoux, les bras croisés, et accessoirement toujours en jean et le casque sur les oreilles que je suis arrivé en bas. Pour une fois, je pouvais difficilement en vouloir aux autochtones de me regarder avec des yeux de merlan frit.
C'est con que j'aie oublié de faire des photos (de la planche notamment, qui était assez impressionnante).
Un épisode qui aurait donc été globalement très amusant si je n'avais pas eu à payer 10.000 yen de caution pour la planche cassée...
La fin du week end fut moins forte en émotions, principalement parce que j'ai eu des courbatures si violentes le lundi matin que j'ai été absolument incapable de me lever pour aller surfer.
Pour résumer, ce fût un excellent week end, malgré des conditions de neige pas idéales (mais suffisantes) et grâce à une excellente ambiance avec les compères. Je retiendrai surtout, en dehors de l'épisode de la planche cassée :
- le snow sous la pluie
- la météo absolument aléatoire : tempête de neige, 5 minutes de soleil, re-tempête de neige, etc
- le fait que les télésièges japonais n'ont pas de repose-pieds, ce qui est fort désagréable, et carrément pas de garde-corps pour les deux places, ce qui est effarant au pays des maniaques de la sécurité
- ... il me faut un reflex ! Ce week-end, je vai chasser le D40 d'occase à Akihabara je crois...
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