Musique :
Du Svinkels et du TTC (cliquez à vos risques et puérils)
j'ai comme un gros besoin de biture en ce moment: vivement ce week end...
j'ai comme un gros besoin de biture en ce moment: vivement ce week end...
Vidéo :
des animes pas forcément inoubliables
(avec un don certain pour finir les tournois à la place du con)
Jeu :
du poker online(avec un don certain pour finir les tournois à la place du con)
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La journée était plutôt bien partie, pourtant : j'avais produit l'effort ce matin, en arrivant au boulot avec moins d'une demi-heure de retard (pour la première fois de la semaine, un jeudi : on a la classe ou on l'a pas). Pour l'occasion, je pense d'ailleurs que je peux m'auto-gratifier du prestigieux titre de plus mauvais stagiaire Vulcanal... Rien de moins. Je suis bien sûr très fier de moi, et je tiens tout particulièrement à remercier mon sommeil de parpaing mort, sans qui je ne serais jamais arrivé jusque là, et aussi mon chef adoré, qui s'en tamponne le coquillard sévère, sans quoi j'aurais été un peu dans la merde quand même.
C'est donc frais et sémillant que j'arrivais ce matin, même pas en retard, dans mon bel uniforme bleugay ciel, l'oeil alerte et le poil soyeux*. Après avoir rapidement constaté que je n'avais pas d'amis pour m'envoyer des mails et qu'il ne se passait franchement rien dans le monde(.fr), j'ai même envisagé (accrochez-vous) de me mettre au boulot. Alors que j'étais arrivé même pas une heure et demie plus tôt !
Parce que non seulement j'étais réveillé et actif**, mais en plus aujourd'hui est un de ces jours bénis que sont les lendemains de réunionsplèbe-dromadaires hebdomadaires***, qui sont en général le seul jour de la semaine où j'ai effectivement quelque chose à faire (l'exception étant les quelques fois où merci-patron me surcharge de travail ; dans ce cas, il m'arrive même d'avoir 3 demi-journées de boulot dans la semaine (si je ne vais pas trop vite)).
Bref, toutes les conditions étaient réunies pour que je m'y collede bon coeur. J'ouvre donc mon très cher logiciel de calcul, réalisant un fois de plus la contreproductive prouesse (à faire pleurer un Maxime), dont je vous passe les détails techniques, d'utiliser un logiciel tournant sous Unix depuis ma session Windows. Pour me rendre compte que le serveur Unix en question est en train de pédaler grave dans la choucroute, comme seul un Steevy à une finale de Question pour un champion spécial Masters pourrait le faire... Genre je clique sur un truc, je lis un article de BPTP (j'en trouve encore que j'ai pas lus, fantastique) et quand je reviens, mon machin a daigné s'afficher entre temps. Avec de la chance.
So long pour ma productivité du matin...
Puis après le traditionnel déjeuner beurktô, voilà venue la réunion de l'après-midi avec nos chers "experts en simulation numérique", (qui sont a peu près aussi compétents et efficaces dans le domaine que je le suis en "point de croix & macramé", mais c'est une autre histoire). Perspective presque motivante, puisque j'avais récemment appris avec bonheur qu'après 3 mois de calculs répétitifs sur le même modèle, truc de fou accrochez-vous, on allait faire varier la géométrie... Ambitieux, génial, innovant, à la pointe de la recherche, titanesque : les mots me manquent pour décrire la tournure que prend mon stage... C'était donc plus ou moins l'objet de cette réunion.
Durant laquelle j'ai appris que c'était un peu trop ouf-malade-complexe de faire varier une épaisseur, alors c'est ces messieurs les experts qui vont le faire. En se réservant une semaine pour cette tâche pharaonique.
Par souci d'adaptation culturelle au pays du Zen, j'ai réfréné mes pulsions : je ne me suis pas fâché tout rouge, je ne me suis pas encastré la tête dans le bureau, je n'ai même pas ouvert la bouche. "Om", comme qu'y dirait. Que la tempête d'incompétence souffle : je m'en plie le roseau.
Ce qui ne veut pas dire que je ne l'ait pas un peu mauvaise quand même, hein. Mais je l'exprime en faisant ce que je fais le mieux : je glande. Na. Grève complète du calcul.
Bon, évidemment personne dans le bureau ne voit la différence avec d'habitude, mais bon... Je suis un incompris.
Ah au fait, je vous ai dit que mon boulot commençait à sérieusement me lourder ..?
*: attention, certaines de ces affirmations sont un peu des carabistouilles
**: cf *
***: je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin, et je concourre maintenant pour le championnat du calembour le plus moisi de la blogosphère (et peut-être courre est-il de trop, comme qui dirait l'autre (non, pas le prof de français mou, je pensais plutôt à lui). De toute façon, j'ai jamais aimé courrir). Et pourtant, Dieu sait qu'il y a de la concurrence de ce côté (mais il a le bon goût de ne pas en faire partie)
C'est donc frais et sémillant que j'arrivais ce matin, même pas en retard, dans mon bel uniforme bleu
Parce que non seulement j'étais réveillé et actif**, mais en plus aujourd'hui est un de ces jours bénis que sont les lendemains de réunions
Bref, toutes les conditions étaient réunies pour que je m'y colle
So long pour ma productivité du matin...
Puis après le traditionnel déjeuner beurktô, voilà venue la réunion de l'après-midi avec nos chers "experts en simulation numérique", (qui sont a peu près aussi compétents et efficaces dans le domaine que je le suis en "point de croix & macramé", mais c'est une autre histoire). Perspective presque motivante, puisque j'avais récemment appris avec bonheur qu'après 3 mois de calculs répétitifs sur le même modèle, truc de fou accrochez-vous, on allait faire varier la géométrie... Ambitieux, génial, innovant, à la pointe de la recherche, titanesque : les mots me manquent pour décrire la tournure que prend mon stage... C'était donc plus ou moins l'objet de cette réunion.
Durant laquelle j'ai appris que c'était un peu trop ouf-malade-complexe de faire varier une épaisseur, alors c'est ces messieurs les experts qui vont le faire. En se réservant une semaine pour cette tâche pharaonique.
Par souci d'adaptation culturelle au pays du Zen, j'ai réfréné mes pulsions : je ne me suis pas fâché tout rouge, je ne me suis pas encastré la tête dans le bureau, je n'ai même pas ouvert la bouche. "Om", comme qu'y dirait. Que la tempête d'incompétence souffle : je m'en plie le roseau.
Ce qui ne veut pas dire que je ne l'ait pas un peu mauvaise quand même, hein. Mais je l'exprime en faisant ce que je fais le mieux : je glande. Na. Grève complète du calcul.
Bon, évidemment personne dans le bureau ne voit la différence avec d'habitude, mais bon... Je suis un incompris.
Ah au fait, je vous ai dit que mon boulot commençait à sérieusement me lourder ..?
*: attention, certaines de ces affirmations sont un peu des carabistouilles
**: cf *
***: je ne compte pas m'arrêter en si bon chemin, et je concourre maintenant pour le championnat du calembour le plus moisi de la blogosphère (et peut-être courre est-il de trop, comme qui dirait l'autre (non, pas le prof de français mou, je pensais plutôt à lui). De toute façon, j'ai jamais aimé courrir). Et pourtant, Dieu sait qu'il y a de la concurrence de ce côté (mais il a le bon goût de ne pas en faire partie)
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