Musique :
Le Club des 7
Vidéo :
(l'intégrale de) Ask A Ninja
Jeu :
Monster Hunter Freedom (PSP)
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Merci à Raph : les deux liens sont tirés des archives de BPTP
(encore un petit effort et je vais arriver à le linker dans tous mes posts)
L'esprit humain est un chose absolument fabuleuse, qui ne cessera jamais d'étonner son monde, pour peu que l'on n'ait pas la curiosité d'un bivalve. Il ne connaît pas de limite, je dirais même. Enfin, à moins bien sûr que l'on considère la connerie profonde comme une limite...
Mais les gens de manquent pas d'imagination en tout cas, il faut au moins leur accorder ça. Depuis les profondeurs abyssales de leur ennui, certains font preuve d'une inventivité à couper le souffle ! Comme par exemple le gars qui a lancé la mode (si ça en a jamais été une, ce dont je doute, mais le simple fait que ça existe me semble déjà surréaliste) de la puxisdiphteraniepceophile (si tu as vraiment essayé de lire ce mot, bravo. Moi non). Ou celle de la scalaglobuphilie. Même combat pour la pogonophilie, ou encore la schoinopenxatophilie (là, je vous laisse chercher...). Et puis surtout, on se demande où est-ce qu'ils vont chercher des noms à coucher dehors comme ça ! Mais c'est vrai qu'il faut un nom sacrément savant pour avoir une chance de camoufler la monumentale stupidité de ces hobbies...
Tout ça pour dire que de bonnes tranches de rigolade vous attendent en feuilletant ça.
Ce n'est pas tout. Car effectivement les gens font, sous le coup de l'ennui je présume, plein de choses stupides de leur plein gré (d'ailleurs, les Darwin Awards donnent souvent de bons exemples aussi) ; mais pas seulement. Car même au niveau du subconscient, il faut bien avouer que parfois les traits de certains de nos congénères sont un peu... déroutants.
En commençant par votre serviteur, qui rigole comme un damné quand il regarde des films avec des presque-gens en train de se faire découper en rondelles, avec projections sanguinolentes en pagaille, par une tondeuse à gazon reconvertie pour l'occasion en mixeur à zombies (mes respects à ceux qui saisissent la référence). Et à côté de ça, si la moindre scène avec une malheureuse piquouze fait son apparition, je me met à suer à grosses gouttes, et quand le moment arrive je ne peux pas m'empêcher de me mettre la main devant les yeux (et éventuellement de pousser des cris de ragondin, dans mes bons jours).
Ce qui, vous en conviendrez, est passablement ridicule. Mais là aussi, l'habile parade présentée précédemment à propos de ces couillons de microtyriosémiophiles fait des merveilles : "mais non, je ne suis pas une pouille mouillée incohérente, j'y suis pour rien, je suis atteint de bélonéphobie aigüe" (le aigüe ne veut rien dire, mais c'est toujours de bon aloi)
Bien sûr, mon cas est un classique. Mais il faut savoir qu'il existe aussi des phobies nettement plsu étonnantes, comme ces gens atteints de bitrochosophobie, d'odaculophobie, de furfurophobie, ou pire, d'orchidophobie. Sans même parler de ces pauvres tyrosémiophobes, dont la vie dont être un enfer.
Pour comprendre quelque chose à la phrase ci-dessus, et au passage vous adonner à un peu de lecture des eaux pilantes (désolé), il vous faut cliquer ici.Mais les gens de manquent pas d'imagination en tout cas, il faut au moins leur accorder ça. Depuis les profondeurs abyssales de leur ennui, certains font preuve d'une inventivité à couper le souffle ! Comme par exemple le gars qui a lancé la mode (si ça en a jamais été une, ce dont je doute, mais le simple fait que ça existe me semble déjà surréaliste) de la puxisdiphteraniepceophile (si tu as vraiment essayé de lire ce mot, bravo. Moi non). Ou celle de la scalaglobuphilie. Même combat pour la pogonophilie, ou encore la schoinopenxatophilie (là, je vous laisse chercher...). Et puis surtout, on se demande où est-ce qu'ils vont chercher des noms à coucher dehors comme ça ! Mais c'est vrai qu'il faut un nom sacrément savant pour avoir une chance de camoufler la monumentale stupidité de ces hobbies...
Tout ça pour dire que de bonnes tranches de rigolade vous attendent en feuilletant ça.
Ce n'est pas tout. Car effectivement les gens font, sous le coup de l'ennui je présume, plein de choses stupides de leur plein gré (d'ailleurs, les Darwin Awards donnent souvent de bons exemples aussi) ; mais pas seulement. Car même au niveau du subconscient, il faut bien avouer que parfois les traits de certains de nos congénères sont un peu... déroutants.
En commençant par votre serviteur, qui rigole comme un damné quand il regarde des films avec des presque-gens en train de se faire découper en rondelles, avec projections sanguinolentes en pagaille, par une tondeuse à gazon reconvertie pour l'occasion en mixeur à zombies (mes respects à ceux qui saisissent la référence). Et à côté de ça, si la moindre scène avec une malheureuse piquouze fait son apparition, je me met à suer à grosses gouttes, et quand le moment arrive je ne peux pas m'empêcher de me mettre la main devant les yeux (et éventuellement de pousser des cris de ragondin, dans mes bons jours).
Ce qui, vous en conviendrez, est passablement ridicule. Mais là aussi, l'habile parade présentée précédemment à propos de ces couillons de microtyriosémiophiles fait des merveilles : "mais non, je ne suis pas une pouille mouillée incohérente, j'y suis pour rien, je suis atteint de bélonéphobie aigüe" (le aigüe ne veut rien dire, mais c'est toujours de bon aloi)
Bien sûr, mon cas est un classique. Mais il faut savoir qu'il existe aussi des phobies nettement plsu étonnantes, comme ces gens atteints de bitrochosophobie, d'odaculophobie, de furfurophobie, ou pire, d'orchidophobie. Sans même parler de ces pauvres tyrosémiophobes, dont la vie dont être un enfer.
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