27 avril 2007

Golden Wique sa race*

*un titre qui prouve à quel point j'en ai besoin

Joie, bonheur, félicité, amour, petites fleurs qui chantent et chatons cromeugnons :
Dans une heure, je suis enfin en vacances ! 9 jours de glandouille intense qui m'attendent. C'est sûr, ça va me changer...
Mine de rien, ça sera quand même les premières depuis 4 mois : ça fait bien plaisir.

C'est pas comme si j'étais surmené pourtant, comme chacun le sait. Techniquement, ça sera même ma deuxième semaine consécutive, puisque dans la droite lignée de mon dernier post de pleurnichage, j'ai passé l'intégralité de cette semaine en chômage technique (volontaire). J'en ai pas glandé une. Pas le moindre petit calcul, pas un seul slide tout naze, j'ai même pas tracé une pauvre courbe. 5 fois 8 heures de niet, nada, zéro, nichts, nandemo nai. Un vrai marathon du rien.
Et malgré mes efforts, j'ai toujours pas réussi à me mettre en retard sur mes attributions... Et je continue de bosser deux à trois fois plus vite que mon bien-aimé collègue (dégoûté d'ailleurs, il est sacrément fort le mec, il a un tel talent pour l'improductivité que je l'admirerais presque)(si je n'avais pas bêtement développé une haine viscérale à son encontre)
Par contre, je suis grave en avance sur ma lecture de blogs. Si les gens pouvaient poster un peu plus, ça me ferait plaisir, merci. Heureusement que Dieu s'y rest remis, parce que sinon, bonjour la déprime !

Évidemment, ne me demandez pas ce que je vais faire de tout ce temps libre, je fais ça à la mode no puran (on se refait pas)(surtout quand on en a pas envie). A priori, je vais quand même essayer d'aller voir de la verdure ailleurs que dans la case "truc indéfinissable et a priori non comestible (a posteriori aussi)" de mon bentô du midi (il va pas me manquer celui-là, tiens)... Avec ce léger souci : quelques millions de japonais ont un peu le même objectif, ce qui à tendance à donner des chemins de randonnée à la mode couloir de métro aux heures de pointe. J'envisage de me mettre à la recherche des coins de nature les plus moches et pourris des alentours pour avoir une chance de me ballader sans avoir à piétiner dans des embouteillages piétons, entre les troupeaux de vieux à bob et les familles à morveux pleurnichards.

Youpiiiiiiiii, donc.


Note pour les parents (et autres inquiets) : j'ai l'air un peu grave sur les nerfs là, mais faut pas prendre tout ce que je dis au premier degré hein, j'hyperbole un peu quand même, des fois. Il faut noter que mes posts maviec'estdelamerdeetjel'échangeraisbiencontrecelleduroidumaroc ont tendance à se faire surtout les vendredi après-midi, quand la lassitude et l'appel de l'otsukare-biiru se liguent pour me faire monter l'aigritude, mais c'est passager. A priori, le suicide à l'agrafeuse n'est pas encore au programme.

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