12 avril 2007

Ken Cantal, un héros Au Poil

Arrière, transsexuel libidineux : le titre de ce post finit bien par AU poil, et non pas À poil. Circulez, les capilosophiles*, y'a rien à voir ! C'est un blog respectable ici, monsieurmadame, Godgle n'y propose pas de vols décadents à la destination incertaine comme chez certains (et hop, ça c'est fait).
Cette nécessaire précision étant faite, revenons-en à nos pastèques, si vous le voulez bien. Comme tu le sais, cher lecteur, je commencer à me 2.0-iser sérieusement depuis que j'ai vraiment rien d'autre à faire de mes journées. Alors quand je suis tombé sur ce blog (rassurez-vous, il est plutôt épais, je ne me suis pas fait mal), qui non seulement a un nom avec poil dedans, ce qui devrait en toute logique - et avec l'apparition en sus du mot "transsexuel" en début de billet - faire crever le plafond à mes recherches Google, mais en plus a lancé un concept trop 2.0 de la mort qui met un peu fin à la vie, hé ben forcément, je me suis senti absolument et totalement obligé de linker ça. Dont acte.

Le plat de résistance méta-conceptuellement révolutionnaire, ça s'appelle Ken Cantal et l'Or des Pastèques, et c'est "une blogventure dont vous êtes le héros". Un concept chouette s'il en est donc, qui en plus à le chic de rappeller l'époque bénie (ou pas) ou je passais mes samedi après-midi ensoleillés à chercher la page 143, pour y apprendre que j'étais bêtement tombé dans un trou rempli de wapitis mutants enragés, et que par conséquence j'étais un peu mort mais je pouvais retourner à la page 8 pour tout me retaper depuis le début (ou alors revenir à la case précédente grâce à la filoute astuce du marque-ta-page, et choisir cette fois ci "continuer d'avancer sans déclencher de piège" au lieu de "marcher d'un pas assuré sur cette dalle ostensiblement surélevée et en métal qui jure un peu sur le sol en terre battue", mais ça c'était de la triche).
Sauf que là, les choix sont un poil plus cornéliens (quoique...), et surtout il n'y en a pas qui mènent à la case "Ken Cantal crève comme un étron. The End", tout du moins pas jusque là. Ce qui serait un peu dommage, il est si bon à ce qu'il fait (ça sonne quand même mieux en anglais avec la voix de Wolverine ça hein).
Ah, et puis il y a aussi le fait que c'est terriblement poilant...



Note : promis, un de ces 4 je ferai un billet qui n'est pas un pauvre link vers le travail de quelqu'un d'autre. Genre, au hasard, ces fameux posts sur la bouffe que certains attendent depuis environ longtemps...

*J'ai beau chercher dans le fabuleux site linké ci-dessous, il n'y a pas de mot officiel. Alors je fais comme tout le monde, j'invente.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

pfiouiouiou!
mes joues se colorent, je suis rose comme une fesse de cochon

merci :)

PS: et promis, l'épisode suivant bientôt !

Anonyme a dit…

- Hmmm je remonte sur ma moto en embarquant une poule enragée, et.... et...
- KAMOULOX!!!!